Imprégnés par les valeurs du développement durable, nous nous appliquons à les mettre en œuvre dans une démarche de Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE).

Nos produits sont labellisés et certifiés bio, nos partenaires également :

Les labels certifiés apportent des garanties précises sur les produits cosmétiques bio qui doivent répondre aux règles très strictes réunies dans le référentiel concerné d’un organisme certificateur (souvent élaboré selon un cahier des charges et/ou une charte).

Le cahier des charges des organismes certificateurs de produits cosmétiques bio est basé sur les notions de développement durable, il attend du demandeur de certification de démontrer sa capacité à « protéger la santé et l’environnement à tous les niveaux du process, de la production des matières premières à la distribution des produits finis », autrement dit de démontrer un engagement environnemental et éthique.

Les attentes les plus récurrentes des organismes certificateurs sont :

– Des requis de pourcentage en ingrédients naturels ou d’origine naturelle

– Des requis de pourcentage en ingrédients issus de l’agriculture biologique

– Restrictions et interdictions concernant les ingrédients d’origine synthétique et/ou issus de la pétrochimie

– Des requis au niveau des emballages qui doivent souvent être recyclables ou biodégradables

– Requis au niveau des procédés de fabrication qui doivent être non-polluant

– Une volonté d’amélioration continue vers plus de développement durable

Nos emballages primaires pour liquides sont en verre :

Pourquoi le choix du verre ? Car c’est un matériau qui s’inscrit parfaitement dans une démarche de développement durable : le verre est le seul matériau d’emballage recyclable à 100 % et à l’infini, faisant partie intégrante de l’économie circulaire.

Il est généralement considéré comme le plus « naturel » des matériaux d’emballage, à la fois par sa fabrication (peu polluante) et sa composition.

En effet, la fabrication d’une tonne de verre exige :

– Environ 700 kilos de sable

– 200 kilos de calcaire

– 300 kilos de matières premières diverses (dont principalement du carbonate de sodium)

Or, toutes ces matières sont des ingrédients naturels, inertes et abondants sur terre.

Le verre est facile à nettoyer (même à forte température) et les contenants sont aisément réutilisables.

Côté inconvénients, le verre est évidemment un matériau lourd et fragile, son écobilan (transport et logistique) est donc plus important qu’avec le plastique ou le métal. Il est en outre assez énergivore puisque la fusion nécessaire à sa fabrication implique d’atteindre environ 1500°C, à raison de plus de 1160 kWh /tonne de verre produite.

Les clients exigeants seront heureux de constater que le verre répond aux trois « R » de la hiérarchie des déchets :

– Avec le verre, il est possible de réduire l’utilisation de matières premières brutes et d’énergie au sein des opérations de fabrication.

– Le verre se réutilise dans la maison et conserve sa beauté, son intégrité et son innocuité. Une seule bouteille en verre peut se remplir 30 fois avant d’être recyclée.

– Le verre est recyclable à 100 % et à l’infini. Avec ce matériau fabriqué en circuit fermé, il est possible de recréer exactement le même produit infiniment.

Remarque : bien que cette solution ne soit pas idéale, si le verre est abandonné comme détritus ou jeté à la décharge, il ne se décompose pas en produits chimiques nocifs pour la planète ou les océans.